• Projets sur le handicap à Brive

    « Une bourse en ligne pour des logements adaptés ou une association pour représenter les enfants handicapés scolarisés : La mairie sollicite le monde du handicap pour réfléchir à ce genre de projets » tel est le « chapo » d’un article de La Montagne du 19 décembre 2014.

    Carine Voisin et Didier Trarieux sont chargés des problèmes liés au handicap au sein du conseil municipal de Brive.

    « Nous souhaitons aller plus loin que ce que la Loi nous impose…Nous sollicitons tous les acteurs pour aborder de nouveaux chantiers ».

    150 à 160 arrêts de bus ont été aménagés pour faciliter l’accès des personnes à mobilité réduite.

    L’accessibilité concerne non seulement les personnes handicapées, mais aussi les mamans avec leurs poussettes ou les personnes âgées.

    Organiser une journée Brive handicap consisterait à « mettre les gens en situation ». Proposer des fauteuils roulants, des lunettes pour troubler la vue…

    L’un des grands projets est la création d’une association de parents représentant les enfants scolarisés handicapés (environ 170).

    Les élus comptent aussi sur les applications smartphones pour indiquer les professionnels de santé ou les sites accessibles.

    Les personnes intéressées peuvent se renseigner à la mairie, au 05 55 18 15 78. 

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  • « C’est dur d’être handicapé »

    Jean-Pierre Crépieux, selon le décret paru au Journal officiel, va recevoir la Légion d’Honneur.  « Pour 50 ans de service en tant que cofondateur de L’Arche », avec Jean Vanier.

    À cette occasion il s’est livré à La Croix (08 12 14) :

    « Je n’aime pas qu’on dise que je suis handicapé. Handicapé mental, c’est encore pire. C’est dur d’être handicapé. C’est encore plus dur de l’entendre dire. Tout le monde est handicapé, mais pas tous pareil. Moi, je trouve que je me dé brouille pas mal ».

    Chacun peut-il en dire autant ?

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  • Ingénieux ingénieur handicapé

    Blog 133 Ingénieux ingénieur handicapé.jpgRendre accessible (et abordable) la position verticale aux personnes en situation de handicap, tel est le défi que tente Hervé Renaud, paraplégique, à Tulle.

    Depuis l’âge de 18 ans il est contraint de se déplacer avec un fauteuil roulant à cause d’un accident de moto qui condamna ses jambes à l’immobilité.

    Il est pourtant devenu ingénieur et s’est fixé très tôt l’objectif de trouver le meilleur moyen de contrer le handicap moteur. À cet effet il décide d’orienter ses recherches vers la création d’un siège verticalisateur aux dimensions réduites. Trois spécialisations en génie mécanique lui permirent de travailler dans plusieurs bureaux d’études et de trouver un poste de chargé de mission à ERDF.

    Arrivé à Tulle voilà 5 ans, il s’attelle en 2011 à la conception d’un fauteuil électrique adapté aux besoinDD1s et aux ressources de personnes en situation de handicap.

    Il décide alors d’aller voir le Centre de Formation des Apprentis de l’Industrie de Tulle et propose au directeur la construction collective d’un premier prototype. Hubert Mariaux est immédiatement séduit par l’idée qu’il inscrit dès la rentrée dans les enseignements dispensés aux Bac Pro et aux BTS du CFAI.

    Extrêmement formatrice, cette aventure a permis dans le même temps de sensibiliser les étudiants au handicap moteur.

    Reste à trouver des partenaires susceptibles de financer le coût de production d’un prototype industrialisable (10.000 €) et d’œuvrer ainsi pour l’autonomie des personnes en situation de handicap.

    La Montagne 08 12 14.

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  • Troisième conférence nationale du handicap

    Instaurée par la loi de février 2005, cette conférence nationale a lieu tous les trois ans. Elle s’est tenue le 11 décembre à l’Élysée.

    En juin 2011, Nicolas Sarkozy avait tenu à rassurer le secteur en promettant que l’échéance fixée à 2015 pour rendre accessibles tous les établissements recevant du public (ERP) serait maintenue. Une promesse qui s’est rapidement avérée irréaliste. « On estime qu’environ 330 000 ERP sont aux normes sur plus d’un million », expliquait en juillet à La Croix Ségolène Neuville, secrétaire d’État chargée des personnes handicapées.

    En octobre dernier, le gouvernement a publié une ordonnance accordant des délais supplémentaires. Tous les ERP ont maintenant un an pour déposer en préfecture un document précisant la nature et le coût des travaux à réaliser. Ensuite, le bâtiment devra être mis aux normes dans un délai de trois ans. Le gouvernement assure que ce délai sera respecté pour 80 % des ERP, ceux accueillant au maximum 200 personnes : les commerces de proximité, les cabinets médicaux… Les bâtiments plus grands pourront se voir accorder trois ans de plus.

    Un autre dossier mis en avant par les associations sera celui des ressources. Aujourd’hui, un million de personnes vivent avec l’allocation adulte handicapé (AAH), soit 800 € par mois. « J’espère que le président saura mesurer la situation d’extrême pauvreté dans laquelle vivent beaucoup de ces personnes. Faute de ressources suffisantes, certaines sont obligées de faire un choix : soit manger, soit se soigner, soit acheter un fauteuil roulant pour se déplacer », souligne Patrice Tripoteau, directeur général adjoint de l’Association des paralysés de France (APF). La Croix 11 12 14.

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  • Chômage et handicap

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  • Bonne Année 2015

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  • Greffes pour les paraplégiques ?

    Des chercheurs polonais et britanniques ont réussi à redonner une certaine motricité à un patient devenu paraplégique.

    « Dans ma vie quotidienne je suis déjà capable de m’habiller et de me déshabiller, de me mettre au lit sans assistance, de prendre ma voiture » a indiqué cet homme de 40 ans.

    Selon Alain Privat, directeur de recherches honoraire à l’Inserm : « Cette annonce est intéressante, mais doit être accueillie avec prudence. On ne peut pas tirer de conclusions à partir d’un seul patient. Il faut rappeler qu’entre 15 et 20 % des blessés médullaires (Ayant une lésion au niveau de la moelle épinière) peuvent récupérer spontanément une partie de la motricité de leurs membres inférieurs grâce à un phénomène de suppléance. Au niveau du système nerveux, certains circuits existent, mais ne sont pas utilisés en temps normal. En cas de lésion, ce sont eux qui viennent remplacer ceux qui sont endommagés.

    (L’explication de la greffe étant trop longue et compliquée, nous l’avons supprimée. Celle-ci peut être trouvée sur le site www.la-croix.com au 23 octobre 2014).

    Si les progrès sont liés à une greffe cellulaire, ce qui n’est pas complètement dénuée de risques, elle peut entraîner des tumeurs.

    De manière générale, on peut dire que l’espoir de faire remarcher un jour des personnes paraplégiques n’est plus un horizon hors d’atteinte ». La Croix 23 10 14.

    Blog 121

  • Festival Croiz'y

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  • Les chômeurs en situation de handicap

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    Blog 130

  • Phitech guide les aveugles

    Cette PME de Villers-les-Nancy (Meurthe-et-Moselle) développe, en partenariat avec les associations, des balises sonores dans les commerces, les transports et sur la voirie.

    Les salariés sont devenus des militants de cette cause.

    Bientôt de plus en plus de magasins et certaines gares SNCF seront équipés.

    Le principe est simple : les aveugles et malvoyants peuvent déclencher par une télécommande ou leur smartphone des messages diffusés par des petits boîtiers situés au niveau des portes d’entrée de magasins, services publics, wagons. Soit la télécommande émet un signal dès qu’elle passe devant un boîtier, soit l’utilisateur choisit d’interroger son environnement à l’endroit de son choix.

    Le nom du commerce est diffusé par le boîtier, puis, pour plus de discrétion, le haut-parleur de la télécommande ou le téléphone indique précisément par synthèse vocale où se trouve la porte et quel itinéraire emprunter jusqu’à l’accueil. Un système qui s’adapte aussi sur les feux de circulation et les panneaux d’annonce des horaires de passage des trains ou bus.

    « Les aveugles de naissance se repèrent en pas et sont tellement habitués aux synthèses vocales qu’ils réclament un débit de parole extrêmement rapide. Ceux qui ont déjà vu préfèrent souvent un guidage en mètres et des indications sonores plus lentes » explique Philippe Le maire, le patron de cette PME de 13 salariés.

    Cette année 1.000 bâtiments de plus ont été équipés, 500 personnes supplémentaires ont acheté une télécommande. Les acheteurs de balises de guidage se voient proposer une formation à l’accueil des clients et usagers malvoyants et aveugles. Source La Croix du 01 12 14.

     

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